La complainte des filles de joie se place du point de vue des prostituées, en évoquant les désagréments de cette activité (mépris du public, persécutions policières, fatigue et problèmes de pieds, saleté ou laideur des clients, solitude), et conclut que ces femmes méprisées ne sont pas différentes des autres et méritent la compassion et le respect.