Acoustic Cover 19

40 Fingers est un quatuor de guitares acoustiques aux multiples talents basé à Trieste en Italie. Le groupe est composé de Matteo Brenci, Emanuele Grafitti, Andrea Vittori et Marco Steffé qui viennent tous de divers horizons musicaux et ont plus de 15 ans d'expérience dans l'industrie de la musique.

Ce quatuor talentueux crée de belles reprises de pièces musicales bien connues depuis 2017. Leur style musical éclectique se répand dans de nombreux genres musicaux. 40 Fingers est également connu pour son approche unique et passionnante de chaque performance, avec une technique sans effort. Ainsi les quatre hommes apportent chacun un talent, une capacité et une expérience différente au groupe. Leurs vidéos sont professionnellement tournées dans de beaux endroits tels que des music-halls, des châteaux et des caves à vin qui complètent individuellement le ton de chaque chanson.

Et si vous n'aviez pas encore deviné l'inspiration derrière le nom du groupe, c'est très simple : 4 membres avec 10 doigts chacun, je vous laisse faire le calcul... 

Covermix

1) A priori, aucune jeune femme de l'entourage de Ludwig ne portait le prénom d'Elise. Selon une des hypothèses les plus probables et la plus retenue par les musicologues, Beethoven aurait en réalité appelé ce morceau Für Therese (Pour Thérèse), prénom que portaient deux femmes qui comptèrent énormément dans la vie sentimentale du compositeur : son élève Thérèse de Brunswick avec qui il entretint une idylle durant deux ans et Thérèse Malfatti, à qui Beethoven demanda la main en 1810 mais qui déclina la requête...

2) Africa est née sous la plume de David Paich, claviériste et chanteur de Toto. Et selon le musicien, le titre lui a été inspiré par un sentiment d'impuissance et de colère devant les difficultés de vie des enfants en Afrique.

3) En hommage à son leader disparu Bon Scott, AC/DC sort en 1980 l'album Back in Black. Premier morceau de la face B, le single éponyme commence par un riff qui donne instantanément le ton, et évite par la même occasion le coté morbide de l'éloge funèbre. Brian Johnson, le remplaçant de Scott et auteur de ce titre, dit avoir voulu éviter dès le départ l'apitoiement et privilégier la célébration de la vie.

4) Quand il compose Libertango, en 1974 lors d'un séjour en Italie, le bandonéoniste et compositeur argentin Astor Piazzolla, a déjà derrière lui des centaines de compositions. Et si sa musique est ancrée dans la plus grande tradition du tango, il n'a eu de cesse de vouloir hisser ce genre à une autonomie musicale plus grande, en clair faire sortir le tango des salles de bal pour les salles de concert.

5) Contrairement à une idée reçue tenace en France, ce titre n'est pas une chanson d'amour mais se rapproche plus d'un conte d'épouvante : en effet, le texte raconte l'histoire d'un voyageur s'arrêtant pour la nuit et se retrouvant piégé à jamais dans un hôtel maudit... Mais voila dès que l'on traduit les paroles, la chanson est en fait une énorme métaphore qui parle de la dépendance à la drogue et plus particulièrement à l'héroïne. Elle évoque l'aspect attrayant des drogues, la facilité d'y goûter, la description du produit, la façon de consommer, les effets physiques et psychologiques, l'addiction, le manque, la date à laquelle tout a commencer, tout est là, et à la fin, ces quelques vers qui concluent cette chanson magnifique : "tu peux quitter l’hôtel quand tu veux, mais tu ne peux jamais partir"... sous entendu tu peux toujours essayer d’arrêter les drogues, tu n'y arriveras pas.